borboleta2289

j'ai si mal ! j'explose..
une douleur qui ronge, un mal à s'en taper la tête contre le mur..
je prefere ne rien dire à *elle*, ne pas dire que celà dure depuis bientot 1 mois maintenant, 1 mois que ça ne s'arrete pas..
j'ai craqué ce soir.. je voulais pas commencé à me droguer aux medicaments, mais là je pouvais plus tenir! l'eferalgan a fait ce qu'il devait faire.. mais pour combien de temps ?!
elle va surement dire que c'est l'ordi ^^ si seulement, je préfererais tellement..
parce que si c'est l'herédité, je suis foutue..
ouais.. fou-tue..

un article, pour une personne si importante..
qui sait ce que j'aurais pu faire, sans ses mots, sans sa patience, sans son écoute..
mon vrai papa.. ^^
toujours là quand il le faut, toujours à trouver ce qu'il faut dire !
mon adorable papa ^^
je vais résumer tout ce que je pense en un simple mot :

*merci*

 d'être tout simplement toi..

*merci*

d'être toujours là..

*merci*

du fond du coeur..

{je serais toujours là aussi ! n'oublies jamais!] 
[ je t'adores mon ti kevinou! mon précieux papa..}

ils ne comprennent pas
et ce *il* là ne comprendra jamais
*il* a toujours raison dans c'est tort!
*il* se croit le plus fort
*il* se croit toujours "le plus" , c'est comme ça..
mais *il* ne comprendra jamais
*il* et d'ailleurs *elle* aussi ne savent rien interpreter de moi
*elle* ne sait rien dévoiler comme mots
*il* au contraire en fait un peu trop
*elle* ne dévoile que ceux qui font mal
*il* ne respect rien, à part son *moi*
*il* est maladroit, et ne sai tpas s'y prendre
*il, m'a deçut et me deçoit..
*il*, a un regard glacial
*elle*, a les mains qui rassurent
           
  *il* et *elle*, deux moitiés de moi pourtant si étrangère..

tu étais en train de partir
petit à petit , dans un soupir..
je n'ai pas tout de suite réalisé,
quand on m'a dit "c'est finit"..
que ton "mon poussin" était un adieu et non un aurevoir que tu me disais..
il m'a fallut voir pour le croire, laisser couler les larmes, dans la colère d'un cris
ainsi que la colère contre ces autres, indifferentes aux chagrins !
la vieillesse rend surement con! je les mepriserais jusqu'à leur dernier souffle! elles qui n'ont rien sut faire d'autre que de rire, et parler de choses futiles en cet instant méprisant!
cet instant où j'ai du comprendre que "tonton" je ne prononcerais plus..
qu'il me resterai les souvenirs pour me soulager, pour me soutenir..
j'étais jeune, et j'ai dut comprendre que je ne te reverais plus..