tu étais en train de partir
petit à petit , dans un soupir..
je n'ai pas tout de suite réalisé,
quand on m'a dit "c'est finit"..
que ton "mon poussin" était un adieu et non un aurevoir que tu me disais..
il m'a fallut voir pour le croire, laisser couler les larmes, dans la colère d'un cris
ainsi que la colère contre ces autres, indifferentes aux chagrins !
la vieillesse rend surement con! je les mepriserais jusqu'à leur dernier souffle! elles qui n'ont rien sut faire d'autre que de rire, et parler de choses futiles en cet instant méprisant!
cet instant où j'ai du comprendre que "tonton" je ne prononcerais plus..
qu'il me resterai les souvenirs pour me soulager, pour me soutenir..
j'étais jeune, et j'ai dut comprendre que je ne te reverais plus..
Dimanche 26 mars 2006 à 21:50
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